Comment vas-tu?
Comment vas-tu?
Je passe la journée avec ma meilleure amie. C’est une journée pour nous deux. Sans distractions. Du temps passé entre nous pour ainsi se retrouver.
Comment vas-tu?
Cette question peut sembler anodine pour certains. En ce qui me concerne…eh bien, je ne suis pas toujours certaine de vouloir répondre à celle-ci. Il y a des moments où je la trouve envahissante. Délicate. Chargée. Confondante. Émotionnelle. C’est de loin pour moi, une question facile. Comment vas-tu? Elle me demande…
Elle dirige la conversation dans la direction des gens à l’extérieur. Leur perpective. Ma copine ayant été dans ma vie bien avant le CBP…sait que cette question est maintenant autre que banale. Une grande curiosité , n’est pas recommandé. Général….trop vague. L’ignorance..ne fait pas partie de l’équation. Une douce poussée…. Comment trouver la bonne approche?
Dans quelle mesure, vous répondre à comment je vais…ceci est bien confondant pour moi. Je suis en train d’apprendre à équilibrer ceci. Cette partie de moi qui ne veut pas penser à cette maladie. Une autre qui est apeurée. Le moi, qui ne veut pas s’imposer ou apporter lourdeur. Le moi, qui a besoin d’une épaule. Naviguer tout cela n’est pas chose facile.
Contre vents et marées, elle a soutenue ma main. Elle est là pour moi. Elle me pousse a être mon propre avocat et chercher des réponses. Elle sait combien il est difficile d’être à l’extérieur et ne voir qu’une parcelle.
Merci ma chère amie d’avoir eu cette conversation avec moi.
Je passe la journée avec ma meilleure amie. C’est une journée pour nous deux. Sans distractions. Du temps passé entre nous pour ainsi se retrouver.
Comment vas-tu?
Cette question peut sembler anodine pour certains. En ce qui me concerne…eh bien, je ne suis pas toujours certaine de vouloir répondre à celle-ci. Il y a des moments où je la trouve envahissante. Délicate. Chargée. Confondante. Émotionnelle. C’est de loin pour moi, une question facile. Comment vas-tu? Elle me demande…
Elle dirige la conversation dans la direction des gens à l’extérieur. Leur perpective. Ma copine ayant été dans ma vie bien avant le CBP…sait que cette question est maintenant autre que banale. Une grande curiosité , n’est pas recommandé. Général….trop vague. L’ignorance..ne fait pas partie de l’équation. Une douce poussée…. Comment trouver la bonne approche?
Dans quelle mesure, vous répondre à comment je vais…ceci est bien confondant pour moi. Je suis en train d’apprendre à équilibrer ceci. Cette partie de moi qui ne veut pas penser à cette maladie. Une autre qui est apeurée. Le moi, qui ne veut pas s’imposer ou apporter lourdeur. Le moi, qui a besoin d’une épaule. Naviguer tout cela n’est pas chose facile.
Contre vents et marées, elle a soutenue ma main. Elle est là pour moi. Elle me pousse a être mon propre avocat et chercher des réponses. Elle sait combien il est difficile d’être à l’extérieur et ne voir qu’une parcelle.
Merci ma chère amie d’avoir eu cette conversation avec moi.